Envoyer des emails de prospection, c’est une chose.
Obtenir des réponses ? C'en est une autre.
Vous passez des heures à peaufiner vos messages, à chercher le bon contact... pour un taux de réponse qui frôle le néant.
C'est frustrant. Et épuisant.
Ce guide n'est pas une énième liste de "conseils".
C'est une méthode. Pour que chaque email que vous envoyez ait un impact.
On va voir ensemble comment construire des campagnes qui fonctionnent vraiment :
Imaginez un instant : vous recevez plus de 50 prospects qualifiés chaque mois.
Vous gagnez 15 heures par semaine parce que l'identification des leads et les premières relances sont automatisées.
Vous gardez la main, mais vous vous concentrez sur ce qui compte : closer.
Et la conformité RGPD dans tout ça ?
On va rendre ça simple. Très simple.
L'objectif : prospecter l'esprit tranquille, sans jamais risquer de passer pour un spammeur.
Prêt à lancer des campagnes qui convertissent ?
Alors on y va.
Alors, combien d'emails faut-il envoyer pour avoir une chance ?
C'est une question qui revient souvent, vous savez.
Beaucoup pensent qu'une ou deux relances suffisent.
Mais la réalité est... différente.
Une étude SQuAD (c'est une référence solide !) a montré que les séquences de 4 à 7 emails peuvent atteindre 27 % de réponses.
Contre seulement 9 % si vous vous limitez à 1 ou 3 messages.
C'est énorme, cette différence. Presque le triple !
Alors, on fait quoi pour que vos emails fassent partie de ces 27 % qui reçoivent une réponse ?
On applique ces principes, un par un.
Non, "Bonjour [Prénom]" ne suffit plus. Ça, c'est de l'histoire ancienne.
Vous devez prouver que vous avez fait vos devoirs, que vous savez à qui vous parlez.
Que vous vous êtes vraiment intéressé à votre interlocuteur.
Par exemple, si vous voyez qu'un prospect a posté sur LinkedIn à propos d'un nouveau projet, ou qu'il vient d'adopter un nouvel outil...
Mentionnez-le !
Imaginez, vous vendez un outil pour la migration de données.
Vous écrivez : "J'ai vu que votre équipe migre vers HubSpot, comment ça se passe pour l'intégration des anciennes données ?"
C'est tout de suite plus puissant, non ?
Votre objet d'email, c'est la première impression.
C'est ce qui décide si votre message sera ouvert ou filera directement à la poubelle.
Gardez-le entre 7 et 9 mots. Pas de jargon. Pas de fioritures.
Pensez à un objet comme : "3 RDV en 14j pour vos SDR, Pierre ?"
C'est clair, ça promet un bénéfice concret, et ça interpelle directement la personne.
Simple et efficace.
Vous n'avez pas beaucoup de temps.
Votre prospect est pressé. Vous le savez bien, vous aussi, vous l'êtes !
Donc, allez droit au but.
Votre proposition de valeur doit être une phrase choc. Elle doit résoudre un problème mesuré, promettre un gain concret, et si possible, indiquer un délai.
Par exemple : "Nous aidons les entreprises comme la vôtre à réduire le coût d'acquisition client de 20% en moins de 3 mois, sans sacrifier la qualité des leads."
Voilà. C'est clair. C'est impactant.
Ne laissez pas de place au doute. Votre prospect doit savoir exactement ce que vous attendez de lui.
Un seul appel à l'action. Pas deux, pas trois. Un seul.
Proposez des options simples : "Seriez-vous disponible mardi à 10h ou jeudi à 14h pour une courte discussion ?"
Ou même un simple oui/non si c'est pertinent.
N'utilisez jamais "Dites-moi si vous êtes intéressé" ou "Quand êtes-vous libre ?"
C'est trop vague, ça demande un effort de réflexion. Et l'effort, on l'évite à tout prix en prospection.
Un Directeur Général ne lit pas un email comme un CMO.
Leurs préoccupations sont différentes, leurs objectifs aussi.
Si vous parlez à un DG, parlez de retour sur investissement (ROI), de P&L (Profit & Loss).
À un CMO, c'est des leads, du CAC (Coût d'Acquisition Client).
Et à un CTO, ce sera plutôt la dette technique, la sécurité, les risques.
Adaptez votre discours. Vous êtes un caméléon de la vente, n'oubliez pas.
Ne faites jamais d'email générique. C'est le meilleur moyen de finir dans les spams.
Votre checklist email doit être segmentée.
Par ICP (Ideal Customer Profile), par signaux d'achat, par secteur d'activité.
Chaque segment reçoit un message pensé *pour lui*.
C'est un peu plus de travail au départ, oui.
Mais c'est ce qui fait toute la différence en termes de performance.
On l'a vu : les relances sont capitales.
Mais attention à ne pas harceler.
Espacez vos relances de 3 à 7 jours.
Et surtout, variez le contenu. Une relance, ce n'est pas juste "Je me permets de relancer...".
Vous pouvez ajouter une preuve sociale, un cas client pertinent, une courte question pour réengager, ou un point de vue sur un article qu'il aurait pu lire.
Pensez à apporter de la valeur, pas juste à rappeler votre existence.
Prospecter sans mesurer, c'est rouler les yeux bandés.
Surveillez vos taux d'ouverture et vos taux de réponse à chaque étape de votre séquence.
Si votre taux d'ouverture est bon, mais que les réponses ne suivent pas...
C'est un signal clair. Votre objet est bon, mais votre offre ou votre CTA ne convainc pas.
Alors, retravaillez-les.
Vous vous souvenez des 15 heures gagnées par semaine dont on parlait en intro, et des 50 prospects qualifiés en plus par mois ?
C'est là que notre outil, LEO Bizdev, entre en jeu.
Il centralise votre prospection LinkedIn et Email, gère les relances, et même le scoring de vos leads.
Ça vous libère un temps fou pour vous concentrer sur ce que vous faites le mieux : échanger avec des prospects réellement intéressés et closer des deals.
Une fois les emails envoyés et les réponses analysées, il faut organiser.
Classez vos leads méthodiquement :
Concentrez vos efforts sur les "Chauds" et "Tièdes".
Et surtout, documentez les refus. Ça vous évitera de les recontacter inutilement et ça affinera votre stratégie future.
Prenez votre dernière séquence d'emails de prospection.
Votre mission, si vous l'acceptez :
Et si vous voulez aller plus loin, LEO Bizdev vous accompagne à chaque étape.
Vous y construirez votre Salesbook, enrichirez votre base de données, lancerez des campagnes de prospection multicanal (Email + LinkedIn) et piloterez tout ça depuis un dashboard en temps réel.
Simple, non ?
Alors, une question qui vous trotte sûrement dans la tête : « Vraiment, combien de lignes pour qu'un email fasse mouche ? »
La science, enfin, l'étude SQuAD qu'on évoquait, est claire : visez 5 à 8 phrases, grand maximum.
Un objet unique, bien sûr. Et un appel à l'action (CTA) d’une clarté absolue.
Après, c'est juste une histoire de personnalisation et de suivi. Franchement, c’est plus simple qu’on ne le pense.
Pour vous aider à démarrer, ou à affiner vos messages, voici trois modèles d'emails de prospection. Vous pouvez les adapter directement pour le B2B Tech, le SaaS, ou vos services. Prenez-les comme un point de départ. Votre point de départ.
C'est l'email qui doit capter l'attention sans tarder.
Vous offrez une valeur, une solution, avant même de demander quoi que ce soit.
Objet : 2 idées pour réduire votre CAC ce trimestre
Bonjour [Prénom],
J’ai remarqué que vous mettez les bouchées doubles sur [canal/produit].
C'est top. Mais ça demande des résultats, non ?
Chez [Votre société], nous aidons des CMO SaaS comme vous à générer bien plus de rendez-vous qualifiés.
Et ça, sans avoir besoin d'exploser le budget pubs.
Par exemple, pour [Nom d'un client similaire], on a fait ça en [chiffre concret en X semaines]. Ça vous parle ?
Seriez-vous disponible pour une discussion rapide de 15 minutes ?
Genre, mardi à 10h ou plutôt jeudi à 14h ?
[Nom, poste]
[Société] | [Téléphone]
[Signature pro]
Non, une relance, ce n'est pas juste un "je me permets de vous relancer".
C'est une nouvelle chance d'apporter quelque chose de plus. Une preuve. Un argument de poids.
Objet : [Prénom], aperçu rapide + cas client 30 jours
Bonjour [Prénom],
Je me permets juste un bref rappel, car je pense que ça pourrait vraiment vous intéresser.
Vous vous souvenez des chiffres de l'étude SQuAD qu'on a vus plus haut, sur les taux de réponse ?
Eh bien, on a aidé [Nom d'une entreprise similaire] à passer de 9 % à 27 % de réponses.
Avec une séquence de 4 à 7 emails, oui. Et un seul appel à l'action à chaque fois.
Envie de voir ce playbook ?
Je l'ai résumé en 5 slides, si vous voulez. On pourrait en parler mardi 10h ou jeudi 14h, si ça vous arrange ?
[Nom, poste]
[Société] | [Téléphone]
[Signature pro]
Soyez là au bon moment. Quand votre prospect est sous les feux des projecteurs, ou vient de faire une annonce importante.
Montrez-lui que vous êtes attentif. Que vous êtes humain, avant tout.
Objet : Bravo pour [lancement/levée de fonds/partenariat] + idée rapide
Bonjour [Prénom],
Écoutez, je voulais vraiment vous féliciter pour [l'événement précis : ex: votre dernière levée de fonds]. Quelle nouvelle !
J’ai tout de suite pensé à une idée simple pour transformer ce formidable élan en rendez-vous concrets pour votre pipeline. Et ça, en moins de deux semaines.
En gros : cibler [segment spécifique], avec un message qui tape juste sur [un problème précis], et une preuve comme [un cas client X].
Alors, vous préférez que je vous envoie ce plan en 5 points, ou on s'en parle directement 15 minutes ?
[Nom, poste]
[Société] | [Téléphone]
[Signature pro]
Peut-être que vous vous dites : « Mais tout ça, c’est beaucoup de suivis, non ? Je ne veux pas paraître lourd. »
C'est une crainte légitime. Et je la comprends parfaitement.
Mais rappelez-vous ce qu'on a dit plus tôt : une séquence de 4 à 7 emails, espacés de 3 à 7 jours.
Toujours avec un contenu court et un seul objectif par email. Ce n’est pas du harcèlement, c’est de la persévérance intelligente.
Et c'est précisément là que LEO Bizdev entre en scène. Pour vous faciliter la vie, concrètement :
Ce que nos clients B2B constatent habituellement, c'est assez bluffant : plus de 50 prospects qualifiés chaque mois, et pas moins de 15 heures gagnées par semaine.
Tout ça, sans envoyer un seul message intrusif. Juste des emails clairs, nets, qui donnent envie d'agir.
Alors, une question qui vous brûle les lèvres, je suis sûr :
« Faut-il vraiment un consentement avant d’envoyer un email B2B ? »
La réponse est claire, et sans détour : oui.
Vous devez avoir soit un opt-in explicite (c’est-à-dire un accord clair et documenté), soit prouver un intérêt légitime pour votre prospect.
Et attention, ce n’est pas tout !
Il faut aussi que ce soit documenté, et surtout, que votre prospect puisse s’opposer à tout moment, de manière simple et immédiate.
Concrètement, qu’est-ce que ça veut dire pour vous ?
Une cible ultra-pertinente, un motif d'email évident, et une porte de sortie facile pour le destinataire.
Si vous ne respectez pas ça, c'est simple : vous êtes perçu comme un spammeur.
Et croyez-moi, vos domaines d’envoi vont en souffrir très, très vite.
La conformité RGPD, ce n'est pas une contrainte, c'est un gage de sérieux.
Voici comment vous pouvez l’intégrer, pas à pas :
1. Choisir votre base légale : Opt-in ou Intérêt Légitime ?
Vous avez deux chemins possibles.
L'opt-in, c'est le grand classique : le prospect remplit un formulaire et vous donne son accord.
L’intérêt légitime, c'est un peu plus subtil : vous devez prouver que votre offre est directement pertinente pour son activité professionnelle.
Dans les deux cas, le contrat est le même : vous devez l’informer de l'usage de ses données, tout tracer, et surtout, respecter son droit à se retirer.
2. Viser la cible parfaite : la pertinence avant tout.
Ne tirez pas à l'aveugle.
Votre message ne doit s'adresser qu'à ceux qui peuvent réellement bénéficier de votre offre.
Vous vendez un outil de pilotage financier ?
Parlez à un DAF, à un Directeur de P&L. C’est clair, logique.
Un stagiaire marketing, lui ? Non. Pas du tout pertinent pour cette offre.
Le bon message, à la bonne personne, au bon moment. Vous comprenez la nuance ?
3. Jouer la transparence : tout est clair et net.
Dans chacun de vos emails, il faut être irréprochable.
Qui vous êtes, pourquoi vous le contactez, d’où viennent ses données, et un lien direct vers votre politique de confidentialité.
C'est court, direct, et surtout, facile à lire.
Pas de caractères minuscules, pas de liens cachés.
Le prospect doit savoir. Point.
4. Le droit d'opposition : une porte de sortie immédiate.
C’est non-négociable.
Chaque email doit inclure un lien de désinscription, visible, qui fonctionne.
Ou bien, une simple phrase : « Répondez STOP pour ne plus être contacté. »
Et quand un prospect dit stop, vous exécutez.
Immédiatement. Sans discuter. C'est capital pour votre image.
5. L'hygiène des données : la propreté, ça paye.
Purger régulièrement votre base de données est vital.
Supprimez les contacts inactifs.
Ceux qui ont refusé vos offres ?
Documentez-le ! C'est ce qui vous évitera de les relancer par erreur et de nuire à votre réputation d'expéditeur.
Même un prospect froid, mais qui a demandé à ne plus être contacté, doit être mis hors-jeu pour toujours. Pensez au long terme.
6. La traçabilité : votre bouclier légal.
Imaginez : on vous demande des comptes.
Vous devez être capable de prouver que vous avez bien le consentement (l’opt-in), avec la date et la source d’où vient le contact.
Et oui, la même chose pour les opt-out (les désinscriptions).
C'est votre journal de bord. C'est simple, mais vital pour votre sérénité.
Un exemple concret, pour que ce soit bien clair.
Vous ciblez des CTO pour une solution de sécurité cyber.
Votre message est utile, ultra-ciblé sur les problématiques de leur secteur, et bien sûr, un opt-out est visible en bas d'email.
Vous vous rendez compte qu’un office manager s'est glissé dans la liste ?
Vous le retirez sans attendre.
Il n’est pas pertinent. Son problème n'est pas le vôtre. C’est une question de bon sens, et de respect.
On parle de complexité ? Pas avec LEO Bizdev.
Notre objectif, c'est de vous libérer des contraintes pour que vous vous concentriez sur le closing.
Et la conformité RGPD est au cœur de notre solution, pour que vous prospectiez l’esprit tranquille, sans aucune peur.
Prenez un instant.
Regardez votre dernière séquence d'emails de prospection que vous avez sous la main.
Votre mission, et je suis sûr que vous allez la relever haut la main :
C'est un petit geste.
Mais c'est ce qui fait la différence entre un bon commercial et un excellent commercial.
C'est ce qui vous assure une prospection sereine, efficace, et respectueuse.
Et au final, ce qui construit votre réputation.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Visez 7 à 12 mots, centré bénéfice. Exemple B2B: “Réduire vos coûts SAV de 18 pour cent en 30 jours”. Testez 3 variantes, gardez celle au meilleur taux d’ouverture.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Objet: “Question rapide sur votre pipeline Q4”. Corps: 3 lignes max, valeur chiffrée, preuve, appel à action unique. Signature claire. Relance J+3 avec angle différent, suivi J+10.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Photographe: montrez 3 mini cas locaux, lien portfolio, créneau mini séance. Community Manager: métrique avant après, niche sectorielle, proposition test 14 jours. Un seul appel à action.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). 30 à 45 caractères, concret, personnalisé. Exemples: “[Prénom], idée pour vos leads LinkedIn”, “Re: 12 pour cent de no-show en moins”. Évitez trop de majuscules. Test A/B.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Cible pertinente, base légale valide, lien de désinscription, mention du droit d’opposition, preuve du consentement si opt-in. Documentez refus. Suivez ouverture et réponse pour assainir.
Avant de filer, un truc important. Vraiment.
Vous savez, votre email de prospection ?
Il fonctionne si vous respectez trois points clés.
Un, il doit être utile pour la personne qui le reçoit.
Deux, hyper simple à lire. Vraiment clair.
Trois, et ça, c'est souvent oublié : il faut pouvoir le mesurer.
Le reste ? Franchement, c'est du remplissage. Du bruit. Ça ne sert à rien.
Alors, qu'est-ce que vous pouvez faire, là, tout de suite ?
Sans vous prendre la tête. Sans vous perdre.
Voici les bonnes pratiques prospection email que vous devriez absolument mettre en place :
Vous vous dites que ça fait beaucoup, non ?
C'est vrai.
Mais imaginez pouvoir faire tout ça, ou presque, en pilote automatique.
C'est là qu'un outil comme LEO Bizdev entre en jeu.
On parle de :
En clair, nos utilisateurs voient souvent plus de 50 prospects qualifiés chaque mois.
Et ils gagnent environ 15 heures de travail par semaine.
C'est ça, la puissance des bonnes pratiques prospection email quand elles sont bien appliquées.
Alors, un dernier truc, ultra pratique.
Un petit exercice, si vous voulez.
Prenez un de vos modèles d'email actuels.
Passez-le dans LEO Bizdev.
Lancez un test A/B. Juste sur l'objet et la proposition de valeur, pour commencer.
Attendez 72 heures. Regardez les métriques.
Et ensuite ?
Décidez. Itérez. Et vendez.
Simple. Efficace.
Vous voulez vraiment aller droit au but ?
Appliquer toutes ces bonnes pratiques prospection email sans vous arracher les cheveux ?
Et garder cette personnalisation qui fait toute la différence ?
Alors, sérieusement, essayez LEO Bizdev.
Arrêtez de voir vos emails finir à la poubelle.
Transformez-les en de vrais rendez-vous qualifiés. Pas en archives.