Vous voulez des rendez-vous.
Pas des "Vu" qui restent sans réponse.
Le problème, ce n'est pas de trouver du monde sur LinkedIn.
Avec plus de 25 millions de membres en France, le terrain de jeu est immense.
Le vrai problème ? C'est le bruit.
Tout le monde envoie les mêmes messages copiés-collés.
Résultat : vous passez pour un spammeur. Et votre message se noie.
Ce guide de la prospection sur LinkedIn va à contre-courant.
On va faire l'inverse de tout ça.
Pas de blabla. Juste une méthode simple, en 5 étapes, pour transformer votre LinkedIn en machine à rendez-vous qualifiés.
Imaginez : vous êtes fondateur d'une agence B2B.
Lundi, vous passez 2 heures à chercher 30 profils.
Mardi, 1 heure à rédiger 10 messages que vous essayez de personnaliser.
Mercredi... vous oubliez de relancer.
Et le vendredi ?
Votre pipeline commercial est vide. Frustrant, non ?
À la fin de ce guide, vous saurez exactement comment identifier les bons décideurs, écrire des messages courts qui obtiennent une vraie réponse, et structurer un suivi qui transforme un simple échange en deal.
Et pour l'exécution ? On parlera aussi d'automatisation intelligente.
Pas celle qui envoie des messages robotiques.
Celle qui vous fait gagner du temps sur les tâches répétitives, pour que vous puissiez vous concentrer sur la personnalisation.
Avec un outil comme LEO Bizdev, vous gardez votre voix, mais vous récupérez jusqu'à 15 heures par semaine.
On va commencer par la base : votre profil.
Ensuite, on déroule la méthode, pas à pas.
Et on verra où brancher l'automatisation pour décupler vos résultats.
Simple. Et surtout, efficace.
Alors, comment on fait pour prospecter sur LinkedIn… sans passer pour un énième spammeur ?
La réponse, elle tient en cinq étapes claires. Vraiment claires. Une méthode pour transformer ce réseau en votre meilleur allié commercial.
On va voir ensemble comment :
Oui, LinkedIn, c'est un océan. Plus de 25 millions de membres en France, des centaines de milliers d'entreprises. Mais soyons honnêtes : vous n'avez pas besoin de tout ce monde.
Vous avez juste besoin des bons décideurs. Ceux qui ont un problème que VOUS pouvez résoudre. Ceux avec qui vous pouvez avoir une vraie discussion.
Voici le guide étape par étape pour y arriver.
Votre profil, c'est votre vitrine. Non, mieux : c'est votre page de vente principale. La première impression que vous laissez.
Si elle est brouillonne, vague, centrée sur vous... eh bien, les prospects passeront leur chemin, c'est logique.
Il doit être clair, orienté valeur, avec une photo professionnelle, un titre percutant, une bannière lisible et un résumé avec des preuves.
Imaginez, vous êtes un fondateur d'agence B2B, comme on l'a dit plus haut. Votre profil doit crier la valeur que vous apportez à vos clients potentiels. Pas juste votre fonction.
Si vous vendez des services d'acquisition, votre titre pourrait être :
« +30% de leads qualifiés en 3 mois pour les SaaS en série A, sans dépenser en pub. »
Court. Mesurable. Et surtout, irrésistible pour la bonne cible. Ça parle résultats, vous voyez ?
Action immédiate : Prenez 15 minutes. Réécrivez votre titre de profil LinkedIn. Une seule ligne. Concentrez-vous sur le résultat concret que vous apportez à votre client idéal.
Maintenant que votre profil est affûté comme une lame, il faut trouver les cibles. Et pas n'importe lesquelles. On parle de ciblage laser, pas de filet de pêche.
Pour cela, les filtres de LinkedIn sont vos meilleurs amis. Utilisez-les sans modération par secteur d'activité, par taille d'entreprise, par niveau de seniorité.
Visez le duo "compte + contact idéal". Pour vous, fondateur d'agence B2B, cela pourrait être des PME Tech entre 20 et 100 employés. Et comme contacts, les CEO, les Head of Growth, ou même les Directeurs Marketing.
Votre mission : Créer une liste. Une vraie liste. Trouvez 50 entreprises qui collent parfaitement à votre client idéal. Et pour chacune, identifiez au moins deux décideurs clés.
Une astuce qui change tout : repérez les signaux d'intention. Un post récent sur une problématique que vous résolvez ? Un recrutement sur un poste lié à vos services ? Une levée de fonds ? Bingo ! Vous arrivez au bon moment, avec la bonne solution, celle qui résonne avec leur actualité.
Ah, le message. C'est là que tout se joue. Et croyez-moi, le copier-coller générique, c'est le baiser de la mort. Personne n'aime se sentir comme un numéro de plus dans une liste de diffusion.
Vos messages doivent être des invitations à la discussion, pas des pitchs forcés.
La structure idéale ? Simple. En trois lignes maximum, pas plus :
Reprenons notre fondateur d'agence. Si vous aidez un éditeur SaaS RH, un message pourrait donner :
« J’ai vu votre post sur l'engagement des employés pendant l’onboarding. Nous aidons des DRH à diviser par deux le taux de no-show des nouvelles recrues en 60 jours. Seriez-vous ouvert à 10 minutes pour voir si cela pourrait fonctionner pour votre entreprise ? »
Vous voyez la différence ? C'est direct, ça parle d'un problème qu'ils ont, et ça propose une solution, pas une vente agressive.
Le secret, c'est de ne pas arriver comme un cheveu sur la soupe. Il faut d'abord créer un peu de chaleur, de reconnaissance.
Commencez par interagir publiquement. Commentez un de leurs posts. Une vraie pensée, une question pertinente, pas juste un "Belle publication !". Puis, envoyez une demande de connexion courte et claire, en faisant référence à cette interaction si possible.
Une fois qu'ils ont accepté votre demande, là, vous pouvez envoyer votre message personnalisé (celui des trois lignes, vous vous souvenez ?).
Mais attention : restez concis, 1 ou 2 phrases, et toujours une question fermée à la fin. Vous ne vendez pas ! Pas encore, du moins. Vous cherchez à valider s'il y a un problème réel chez eux, et si ce problème les intéresse suffisamment pour explorer une solution avec vous.
Le suivi, c'est la persévérance intelligente. Pas le harcèlement. La plupart des deals se concluent après plusieurs interactions, pas la première.
Prévoyez des relances : une à J+3, une autre à J+10, par exemple. Mais avec un angle différent à chaque fois. Une preuve sociale, un cas client similaire, une nouvelle question qui pousse à la réflexion.
Et surtout, classez vos prospects. C'est essentiel pour savoir où mettre votre énergie :
Bon, tout ça, c'est génial. Mais soyons honnêtes : ça prend du temps. Beaucoup de temps. On parle de personnalisation, d'engagement, de suivi... Comment on peut faire pour garder cette touche humaine, cette finesse, sans y passer nos journées et négliger le reste de notre business ?
La réponse ? L'automatisation intelligente. Et c'est là qu'un outil comme LEO Bizdev entre en jeu, comme on l'a déjà évoqué.
Imaginez : LEO Bizdev s'occupe de la recherche des profils, de l'enrichissement des données (trouver les bonnes infos sur vos prospects), de l'envoi de vos séquences de messages multicanal (LinkedIn et email), et du suivi. Le tout, en gardant VOTRE ton, VOTRE personnalisation, celle que vous avez minutieusement préparée.
Concrètement ? LEO va créer votre Salesbook (une base de données de prospects ultra-ciblés, enrichie), envoyer vos messages LinkedIn et emails sur-mesure, puis les trier automatiquement en Chauds, Tièdes ou Froids en fonction des réponses. Vous avez même un tableau de bord en temps réel pour tout suivre et piloter votre pipeline.
Le bénéfice ? Jusqu'à 15 heures par semaine gagnées. Un pipeline commercial plus clair, plus rempli, sans effort manuel démesuré. Vous ne mettez votre énergie que là où l'humain est irremplaçable : dans les conversations qui convertissent, celles qui mènent à un vrai rendez-vous.
Pour récapituler et vous assurer que vous êtes sur la bonne voie, voici une petite checklist. Gardez-la sous les yeux :
Vous avez la méthode, l'approche. Maintenant, appliquez-la. Commencez petit, avec ce premier lot de 30 comptes. Une fois que vous maîtrisez la mécanique, que vous voyez les premiers rendez-vous arriver, alors, et seulement alors, vous pourrez la scaler intelligemment avec un outil comme LEO Bizdev. Vous verrez, ça change tout le game.
Alors, comment on fait pour que votre profil LinkedIn ne soit pas juste une carte de visite,
mais un vrai aimant à prospects qualifiés ?
Parce qu'en fait, votre profil, c'est votre vitrine numéro un.
Et croyez-moi, un décideur qui tombe dessus ne lui accorde pas plus de 5 secondes.
Il doit crier votre valeur.
Pas juste qui vous êtes, mais ce que vous
Ça passe par quelques points très précis, que vous devez soigner à la loupe.
On ne le dira jamais assez : une photo professionnelle est non négociable.
Pas de selfie, pas de photo de vacances, ni de logo d'entreprise.
Juste vous.
Un fond neutre, un cadrage simple (épaule et visage), un regard direct vers l'objectif.
Vous voulez inspirer confiance, pas le doute.
C'est la base, vous savez.
Oubliez votre simple poste. Personne ne cherche un "CEO" ou un "Consultant".
Les prospects cherchent une solution à un problème précis.
Votre titre, c'est votre résultat mesurable, ce que vous apportez de concret à votre cible.
Si vous êtes fondateur d'une agence B2B, comme on l'a vu plus tôt, ça pourrait être :
« +30% de leads qualifiés en 90 jours pour les SaaS en Série A »
C'est direct. C'est chiffré. Et ça parle directement à votre client idéal.
Vous voyez la force d'un tel message, non ?
Juste sous votre photo, cette grande image, votre bannière, n'est pas là pour faire joli.
C'est un espace premium pour renforcer votre message.
Mettez-y une promesse courte et une preuve qui frappe l'œil.
Quelque chose comme :
« RDV qualifiés sans pub payante | 47 démos/mois en moyenne »
Cela donne du poids à ce que vous avancez dans votre titre.
Le résumé, c'est votre mini-pitch de vente. En trois blocs, pas un de plus.
Gardez ça simple, digeste.
D'abord, le problème de votre cible, posé en une seule phrase forte.
Ensuite, votre méthode, expliquée en trois étapes ultra-simples.
Et enfin, les preuves chiffrées de vos réussites, avec la niche que vous servez.
Reprenons l'exemple d'un éditeur SaaS RH que vous voudriez cibler.
Votre résumé pourrait ressembler à ça :
« Les DRH ? Ils perdent, en moyenne, 40% de leurs candidats entre l'offre et l'onboarding. Un vrai manque à gagner, vous ne trouvez pas ?
J'aide à réduire ce taux de no-show en 60 jours, grâce à des séquences multicanales bien huilées.
Chez TalentsX, on a diminué ce taux de 52%. Et un autre client a généré 21 rendez-vous mensuels additionnels. »
On sent l'impact, n'est-ce pas ?
Pour chaque ligne de votre section "Expériences", changez les titres classiques.
Pensez impact, pas simplement "Directeur Commercial".
Par exemple : « Pipeline commercial passé de 180k€ à 410k€ en 4 mois. Cycle de vente réduit de 27%. »
Chaque ligne doit raconter une victoire, une amélioration concrète.
Imaginez un tableau d'honneur. C'est ça, la section "Sélection" (ou "Featured").
Épinglez-y vos trois meilleurs actifs.
Un cas client détaillé en PDF ? Parfait.
Un post LinkedIn qui a cartonné, où vous partagez une expertise ? Mettez-le en avant.
Un témoignage vidéo d'un client satisfait ? C'est de l'or !
Ces éléments sont vos preuves sociales les plus fortes.
À la toute fin de votre résumé, glissez un appel à l'action (CTA) doux, discret.
Il ne s'agit pas de vendre, mais d'ouvrir une porte.
Quelque chose du genre :
« Curieux de voir si on pourrait reproduire ces résultats pour vous ?
Écrivez-moi simplement "Analyse" et je vous enverrai un mini diagnostic de 5 lignes, spécialement pour votre entreprise. »
Vous proposez de la valeur, pas un rendez-vous forcé.
Ça change tout, croyez-moi.
Allez, on ne reste pas les bras croisés ! Prenez juste 10 petites minutes, là, maintenant :
Vous allez voir, ces quelques ajustements, c'est déjà un pas de géant.
Vous savez, tout ce travail de peaufinage de profil, c'est génial.
Mais ça prend du temps de savoir quoi dire, comment le formuler pour qu'il soit percutant.
C'est là qu'un outil comme LEO Bizdev, que nous avons déjà mentionné, peut vraiment vous donner un coup de pouce.
LEO, en fait, ne se contente pas de chasser des prospects.
Il déduit votre proposition de valeur à partir de votre "Salesbook" (votre base de données de vente).
Il vous recommande même un titre de profil optimisé pour les résultats.
Et il vous suggère les preuves les plus pertinentes à mettre en avant, celles qui parlent le plus à vos futurs clients.
C'est comme avoir un coach SEO et copywriter personnel, juste pour votre LinkedIn !
Alors, vous vous demandez combien de lignes il faut pour un message qui donne vraiment envie de vous répondre ?
La réponse est rapide, et elle est cruciale : trois lignes maximum. Pas une de plus, croyez-moi. C'est la méthode qu'on appelle la SQuAD.
Pourquoi si court ? Parce que l'attention des décideurs, elle est précieuse. Vous n'avez que quelques secondes pour capter leur intérêt et les inciter à lire la suite. Un message trop long, c'est direct à la poubelle, vous ne trouvez pas ?
Ensuite, une fois qu'on a le format, on pose le cadre. Un truc simple, clair, qui fonctionne à tous les coups, sans jamais sonner robotique. C'est ce qu'on appelle le Framework 3L pour vos messages d'approche sur LinkedIn :
Reprenons l'exemple de notre fondateur d'agence B2B, celui qui cible les SaaS entre 20 et 100 employés, comme on l'a fait plus tôt. Un message, ça pourrait donner ça :
« J'ai vu votre post sur le churn d'essai la semaine dernière. »
« Nous aidons des Head of Growth à augmenter de 25% les démos qualifiées en 60 jours. »
« Seriez-vous ouvert à un rapide diagnostic de 10 minutes, oui ou non ? »
Vous voyez la différence ? C'est direct, ça parle d'un problème qu'ils ont, et ça propose une solution, pas une vente agressive.
Une question qui revient souvent : faut-il sortir son pitch de vente dès le premier message ?
Clairement, non. Absolument pas. Votre but premier, c'est de valider un intérêt. De voir s'il y a un problème qui résonne avec eux. Le pitch, il viendra après, si l'intérêt est là.
Pour éviter l'effet "copier-coller" qu'on déteste tous, votre "Ligne 1 Contexte" doit s'appuyer sur un signal très précis. Un truc qui prouve que vous vous êtes vraiment intéressé à leur actualité. Ça peut être :
Ces signaux, ce sont des portes d'entrée. Des opportunités d'arriver au bon moment, vous comprenez ?
Bon, pour vous aider, voici quelques modèles rapides. Vous n'avez plus qu'à les adapter à votre situation. Et n'oubliez pas : zéro jargon !
Pour la demande de connexion (avant d'envoyer le message de fond) :
« J'ai beaucoup apprécié votre point sur [problème spécifique qu'ils ont mentionné]. Accepteriez-vous que nous nous connections ? »
Pour le premier message (après acceptation de la connexion) :
« J'ai noté votre [signal précis, par exemple : "post sur le churn"]. Nous aidons des [rôle de la personne, par exemple : "Head of Growth"] à atteindre [résultat chiffré, par exemple : "+25% de démos qualifiées"] en [délai, par exemple : "60 jours"].
Seriez-vous ouvert à échanger 10 minutes pour voir si cela pourrait être pertinent pour vous, oui ou non ? »
Pour la relance J+3 (avec un angle neuf, pas juste "alors ?") :
« On a récemment aidé [nom d'un client similaire] à passer de [point A, par exemple : "un taux de no-show de 40%"] à [point B, par exemple : "moins de 15%"] en seulement 8 semaines.
Si vous voulez, je peux vous envoyer un court résumé de notre approche en 5 lignes. Cela vous intéresse-t-il ? »
Pour la relance J+10 (une dernière preuve sociale courte, avant de laisser respirer) :
« Promis, c'est ma dernière tentative pour cette fois. Un Head of Growth d'une entreprise similaire à la vôtre m'a récemment confié que notre séquence de prospection avait réduit leur taux de no-show de 38%.
Préférez-vous une démo rapide pour voir comment ça marche, ou un résumé écrit ? »
Alors, comment on formule un appel à l'action (CTA) qui ne met pas la pression, mais qui donne une vraie réponse ?
La clé, c'est de proposer un choix binaire. Un "oui" ou un "non". Un "A" ou un "B". Et surtout, sans aucune friction. On ne demande pas un rendez-vous de 30 minutes d'emblée, juste une micro-action qui ne coûte rien.
Par exemple : "Oui/Non ?", "Plutôt A ou B ?", "Intéressé(e) par la suite ?". Simple. Efficace. Et ça désamorce l'hésitation.
Avant de cliquer sur "Envoyer", prenez une seconde. Passez votre message à cette petite checklist rapide. C'est votre filet de sécurité :
Si vous cochez tout, c'est un bon début !
Allez, on ne perd pas le rythme ! Prenez votre dernier message de prospection que vous avez envoyé. Juste le dernier, celui qui vous vient à l'esprit.
Maintenant, coupez-le pour qu'il ne fasse pas plus de trois lignes.
Ajoutez un signal d'intérêt clair, qui montre que vous vous êtes renseigné.
Et finissez-le par « oui/non ? ».
Ça vous donne une idée concrète de l'ajustement à faire, non ?
Alors, vous voyez bien que toute cette finesse, cette personnalisation, ça prend du temps. Beaucoup de temps. Et c'est là qu'un outil comme LEO Bizdev, qu'on a déjà mentionné à plusieurs reprises dans ce guide, devient votre meilleur allié.
Il ne s'agit pas de laisser une machine parler à votre place, loin de là. C'est plutôt de vous soulager de tout le travail répétitif pour que vous puissiez vous concentrer sur ce qui compte vraiment : la personnalisation intelligente et les conversations qui convertissent.
Concrètement, LEO Bizdev va :
En somme, vous gardez la main sur la personnalisation de la fameuse "Ligne 1 Contexte". LEO s'occupe de la puissance, des volumes, des timings et du suivi chiffré de vos performances. C'est le meilleur des deux mondes : l'humain et l'efficacité de l'automatisation.
Un dernier test, tout bête, avant de valider et d'envoyer votre message : lisez-le à voix haute.
Si, en le lisant, vous avez l'impression que vous n'oseriez jamais le dire à une personne en face, en vrai, c'est que votre message a besoin d'être retravaillé. Moins de fioritures, plus court, plus clair. Plus vous !
Alors, comment savoir si toute cette énergie que vous mettez dans votre prospection LinkedIn porte vraiment ses fruits ?
La réponse est simple, et elle tient en trois mesures clés : votre taux d’acceptation de connexion, votre taux de réponse à vos messages, et surtout, votre taux de rendez-vous obtenus.
Une fois ces chiffres en main, on analyse, on ajuste, et on relance. C'est ça, la méthode. Simple, oui. Mais surtout, mesurable.
Vraiment, ouvrez un tableau de bord. Ça peut être un simple tableur au début, ou un outil dédié. Mais suivez, chaque semaine, ces éléments :
En parallèle, vous devez classer vos prospects. Et ça, c'est tout de suite, pas demain. Ne laissez pas traîner les choses.
Tiens, une petite action rapide, à faire en 10 minutes chrono, juste après avoir lu ça :
Prenons un scénario très concret pour vous, en tant que fondateur d'une agence B2B, comme on l'a souvent fait dans ce guide.
Semaine 1 : Vous contactez 60 CEO et Head of Growth de boîtes qui collent à votre cible. Votre tableau de bord affiche : 38 % d’acceptation de connexion, 21 % de réponses, et 7 rendez-vous obtenus.
Semaine 2 : Fort de ces chiffres, vous décidez de tester un objet d'email légèrement différent pour certains, et une "Ligne 1 Contexte" plus ciblée (rappelez-vous, la fameuse première ligne de votre message personnalisé) pour d'autres.
Résultat ? Vous obtenez 10 rendez-vous cette semaine-là. Vous savez maintenant quelles variantes fonctionnent mieux. Vous les gardez. Point. C'est comme ça qu'on progresse.
Mais alors, où se situe l'automatisation dans tout ça ?
C'est la clé pour ne pas vous noyer sous la charge de travail, sans jamais, jamais, tuer cette personnalisation si précieuse dont on a parlé en long et en large.
Un outil comme LEO Bizdev, par exemple, dont on a déjà parlé, est conçu pour ça. Il vous enlève toute la charge lourde, pour que vous puissiez vous concentrer sur ce qui compte vraiment.
Comment ça marche, concrètement ? En quatre points :
Vous, votre rôle, c'est de garder la main sur la "Ligne 1 Contexte", celle qui est ultra-personnalisée et contextualisée. C'est votre touche humaine, votre cerveau d'agence B2B qui apporte de la valeur.
LEO, lui, prend le relais pour tout le reste : il pilote les volumes de messages, gère les relances au bon moment, s'occupe des timings, et logue absolument tout. Vous vous concentrez sur l'humain, la machine sur l'exécution.
Les gains concrets, observés chez les équipes qui adoptent cette approche sérieusement, sont clairs :
Une petite astuce de calibration, à faire chaque semaine, en 20 minutes grand maximum :
Pour vos prochaines relances, celles qui seront pilotées par LEO, gardez ce petit mémo en tête :
En fait, au quotidien, vous ne passerez plus votre temps à fouiller votre boîte de réception. Non.
Vous regarderez votre tableau de bord LEO Bizdev. C'est lui qui classe, tague, et planifie. Et vous ? Vous ne traitez que les conversations qualifiées. Celles qui mènent à de vrais deals. C'est quand même plus motivant, non ?
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Commencez par optimiser votre profil, ciblez des prospects qualifiés, envoyez des messages personnalisés, relancez avec tact, puis suivez vos métriques. Outils utiles: Sales Navigator, LEO Bizdev.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Exemple court: “Bonjour [Prénom], j’ai vu [élément précis]. Nous aidons [secteur] à [résultat mesurable]. Ouvert à 10 minutes jeudi ou vendredi matin pour en parler?” Ajoutez 1 preuve, 1 CTA simple.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Filtrez par fonction, effectif, secteur, zone, technologies. Enregistrez des listes, créez des alertes, suivez les changements de poste. Exportez vers votre CRM. Puis lancez des séquences ciblées.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Personnalisez avec un signal fort, soyez bref, proposez une valeur précise, un seul appel à l’action, espacez les relances, arrêtez après 3 tentatives. A/B testez l’ouverture et les réponses.
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Classez leads en chauds, tièdes, froids, suivez taux d’acceptation, réponses, réunions. Automatisation LEO Bizdev: séquences, dashboard temps réel, jusqu’à 15 h gagnées/semaine, 50+ leads qualifiés/mois.
Voilà, vous avez maintenant une vraie méthode. Pas juste des idées en vrac.
Une méthode séquencée, testée, qui marche sur le terrain.
On a parlé de tout, vous savez. De votre profil LinkedIn qui doit claquer. Du ciblage hyper précis. Des messages personnalisés qui donnent envie de répondre. De lancer de vraies conversations. Et, bien sûr, du suivi, ce détail qui fait toute la différence.
Rien d’extraordinaire, n’est-ce pas ? Sur le papier, je veux dire.
Mais la vérité, c’est que tout se passe dans l’exécution.
C’est là que vous faites la différence.
Alors, que faites-vous demain matin, exactement ?
Parce que ce qui compte, c'est de passer à l'action.
Vous pourriez, par exemple :
Imaginez un instant. Vous êtes à la tête d’une agence SEO, n'est-ce pas ?
Voici comment cette stratégie de prospection pourrait se traduire, concrètement :
Vous avez une liste ciblée de Responsables Marketing dans des entreprises SaaS, ici en France.
Votre message d'ouverture, il n'est pas générique. Non.
Il est basé sur un signal hyper concret : une nouvelle version de leur produit, une levée de fonds annoncée, un recrutement clé.
Ça, ça capte l’attention, croyez-moi.
Ensuite, deux relances, courtes. Et si la réponse est "tiède" après 5 jours, hop, on passe sur un email.
Vous voyez, c'est cette mécanique-là qui fait la différence pour votre acquisition clients.
Maintenant, je sais ce que vous pensez : "C'est super, mais j'ai déjà 1000 choses à faire."
Et si vous pouviez déléguer cette mécanique de prospection ?
Gagner un temps précieux, sans sacrifier les résultats ?
C’est exactement là que LEO Bizdev entre en jeu, vous voyez.
On s'occupe de tout : trouver vos comptes cibles, rendre les messages uniques, suivre chaque réponse.
On vous dit juste quand il faut intervenir, quand le prospect est chaud et prêt à échanger.
Et les résultats ? On les a déjà évoqués plus tôt. Mais pour rappel, attendez-vous à :
Écoutez, un dernier mot, et promis, sans blabla.
La prospection sur LinkedIn, c'est comme le sport : elle récompense la régularité.
Et la pertinence, évidemment.
Soyez simple. Mesurez ce qui se passe. Et ajustez, sans cesse, votre stratégie de développement commercial.
Si vous voulez passer à la vitesse supérieure, si vous avez besoin d'une voie rapide, il y a une option.
Pourquoi ne pas tester une démo LEO Bizdev ?
Ça pourrait vous aider à vraiment ancrer votre process de génération de leads, à le rendre solide.
Alors, voilà.
Vous cherchiez un guide de la prospection sur LinkedIn.
Un guide qui vous pousse de la simple lecture à l'action concrète.
Il est là. Entre vos mains, en quelque sorte.
Mon conseil ? Appliquez ne serait-ce qu'une partie de ce qu'on a vu, dès cette semaine.
Et observez. Voyez la différence sur votre nombre de rendez-vous qualifiés.
Votre prochain client ? Il est sûrement à trois messages bien pensés et bien envoyés.
Il n'attend plus que vous, vous savez.