Préparer sa levée de fonds série A: critères, métriques clés, étapes concrètes et prospection automatisée avec LEO Bizdev

Auteur :
Leo Bizdev

Vous visez une Série A.

Pas n'importe laquelle.
Une levée rapide, propre, et surtout, finançable.

Alors, allons droit au but.

Pour convaincre des fonds, vous devez parler leur langue : les chiffres.
Voici la checklist non-négociable que les investisseurs auront en tête avant même de vous rencontrer :

  • Un ARR (revenu annuel récurrent) qui frôle ou dépasse le million d'euros.
  • Une croissance mensuelle solide, entre 12 et 20%.
  • Un ratio LTV sur CAC (la valeur vie de vos clients face au coût pour les acquérir) qui prouve votre rentabilité à long terme.

Imaginez, vous êtes fondateur d'un SaaS B2B.

Vous avez atteint les 90k€ de MRR (revenu mensuel récurrent).
Votre churn net est sous 1%, et votre payback CAC est à 8 mois.

Vous cochez déjà pas mal de cases, non ?

Oui, mais ça ne suffit pas. Il faut encore prouver la traction par cohorte et la solidité de votre pipeline.

Dans cet article, on vous donne tout :

  • Le processus en 5 étapes pour verrouiller votre pitch deck, votre business plan et votre prévisionnel.
  • Les erreurs classiques qui font dérailler une négociation (et comment les éviter).
  • La méthode pour structurer votre sourcing d'investisseurs sans y passer toutes vos soirées.

Et pour cette partie sourcing, justement...

C'est là que LEO Bizdev intervient. On peut automatiser la recherche et la prise de contact avec les bons VCs, trier les réponses, et vous faire gagner 15 heures par semaine.

Vous gardez la main sur chaque message. Nous, on gère la machine.

En résumé : vous aurez les chiffres à montrer, la méthode pour les défendre, et un moteur pour ouvrir les bonnes portes.

Prêt à structurer votre levée de fonds avec méthode ?

Critères et métriques pour préparer sa levée de fonds Série A

Critères et métriques pour préparer sa levée de fonds série a - 1.jpg

Vous vous souvenez des chiffres dont on parlait tout à l'heure ?


L'ARR qui doit frôler le million, cette croissance mensuelle solide, et le ratio LTV sur CAC qui crie la rentabilité ?


Eh bien, pour la Série A, ces métriques, c'est votre passeport.
Mais attention, on ne parle plus d'une simple ébauche.


Vous quittez le stade de l'expérimentation, la phase "Seed", vous voyez ?
On entre dans l'ère de la scalabilité, du mesurable. C'est ça, la Série A.


Alors, comment ça se traduit, concrètement, pour un SaaS B2B comme le vôtre ?


Votre ARR, par exemple, il doit bien sûr dépasser le million d'euros.
Pas juste un coup de chance, mais une trajectoire claire. Et votre MRR ? Il ne doit pas faire le yoyo. On veut le voir grimper, de manière constante.


Cette croissance mensuelle, entre 12 et 20%, elle n'est pas négociable sur un seul mois. Non.
Les investisseurs regardent la régularité, sur plusieurs trimestres d'affilée. C'est la preuve que votre modèle est répétable.


Le ratio LTV/CAC doit être clairement au-dessus de 3.
Idéalement, votre Payback CAC doit se situer sous les 12 mois.
Ça, c'est le signe que vous savez acquérir des clients de manière rentable, et qu'ils restent longtemps.


Et le churn, cette perte de clients ?
Pour un SaaS mid-market, un churn net entre 0 et 1% par mois, c'est très solide.
C'est un indicateur fort de votre product-market fit et de la satisfaction de vos utilisateurs.


La traction, la vraie, doit être lisible par cohortes.
On veut voir la rétention à 6 et 12 mois, l'expansion de vos comptes, et un NRR (Net Revenue Retention) au-dessus de 100%.
Cela montre que vos clients existants génèrent plus de revenus avec le temps.


Alors, un petit exercice, si vous avez un instant :


Ouvrez votre table de cohortes et vérifiez ces trois points :


  • Votre rétention logo à 12 mois.
  • Le NRR sur vos trois segments de ICP (Ideal Customer Profile) les plus importants.
  • Le Payback CAC, canal par canal : SEO, outbound, partenariats. Ça vous donne une vision claire de l'efficacité de vos actions.

La différence majeure entre le "Seed" et la "Série A" ?


C'est simple, une histoire de preuves :


Phase Ce que vous prouvez en priorité
Seed L'existence d'un marché, les premiers usages, quelques revenus initiaux. C'est l'expérimentation.
Série A La répétabilité de votre modèle commercial et la prévisibilité de votre croissance. Vous avez une machine qui tourne.

Votre pipeline commercial doit être un vrai moteur.
On attend de voir un pipeline couvert pour les 6 à 9 prochains mois, avec des taux de conversion déjà testés et validés à chaque étape de votre tunnel de vente.


Imaginez, vous êtes CEO d'un SaaS RH.
Vous avez atteint 95k€ de MRR. Votre NRR est de 112%, et votre LTV/CAC, lui, est à 3,6.
En plus, votre canal outbound (la prospection directe) sur le mid-market a généré 18% d'opportunités supplémentaires en 90 jours.
Là, vous cochez toutes les cases. Vous êtes prêt pour la Série A.


Mais ne vous arrêtez pas là. Il y a aussi la question de la qualité des marges et du capex (les dépenses d'investissement).
Si vous pouvez afficher une marge brute supérieure à 70%, c'est un excellent signal.
Et des unit economics stables pour chaque segment de clientèle, c'est juste indispensable.


Enfin, n'oubliez jamais de présenter la vision "d'après".
Votre business plan doit clairement articuler comment les fonds de la Série A vont servir à l'accélération :
embauches de commerciaux et de CSM (Customer Success Managers), roadmap produit ambitieuse, et l'ouverture de nouveaux marchés.


Vos métriques, finalement, racontent une histoire très simple :
Un produit qui plaît, une croissance qui tient la route, des unit economics sains.
Et surtout, une machine commerciale parfaitement huilée, prête à scaler, à passer à la vitesse supérieure.


Processus étape par étape pour préparer sa levée de fonds Série A

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Alors, par où on commence, très concrètement, pour une Série A qui claque ?


Pas de mystère. On suit une feuille de route claire, en cinq grandes étapes.
Ça va de la validation de vos métriques jusqu'à la création d'un vrai dealflow investisseurs.


On va détailler tout ça, point par point. Pas de blabla, juste ce qu'il faut faire.


  1. Vérifier vos indicateurs et votre traction

    Le but ici, c'est simple : prouver que vos chiffres ne mentent pas.
    Qu'ils montrent une croissance répétable et une rentabilité unitaire solide. C’est la base, vous savez.


    On a parlé de ces métriques cruciales
    — l’ARR, le NRR, le LTV/CAC — un peu plus haut, vous vous souvenez ?
    Maintenant, il faut les figer, les graver dans le marbre.


    Concrètement, qu'est-ce que vous devez faire ?


    • Vous devez avoir en tête vos chiffres exacts : le MRR, l'ARR, le NRR.
      Sans oublier le LTV/CAC, le Payback CAC et votre churn.
      C’est votre carte d’identité financière, en quelque sorte.
    • Construire une table de cohortes sur 12 mois.
      Ça, c’est essentiel pour montrer la fidélité de vos clients.
      Et un pipeline couvert deux fois sur les deux prochains trimestres, c’est la preuve de votre capacité à générer des opportunités.
    • Préparez un audit data.
      C’est un document qui reprend toutes les définitions de vos métriques, leurs sources, et les dates.
      Ça va rassurer les investisseurs pendant la due diligence. C’est la transparence, avant tout.

    Imaginez que vous êtes à la tête d’un SaaS spécialisé dans le marketing.
    Vous avez atteint 85k€ de MRR, votre NRR est à 108%, et le LTV/CAC est de 3,2.
    Si cette tendance se maintient sur trois trimestres, là, vous êtes clairement sur la bonne voie. Vous êtes éligible.


  2. Concevoir un pitch deck impactant

    Le pitch deck, c’est votre histoire.
    Mais attention, pas n'importe quelle histoire. Une histoire chiffrée, vérifiable, qui tient en une douzaine de slides.


    C’est le moment de raconter votre thèse.
    Pourquoi votre entreprise est-elle LA bonne opportunité ?


    Voici ce que votre pitch deck doit contenir, en gros :


    • Le Problème que vous résolvez.
    • Votre Solution, bien sûr.
    • Le Produit, avec une ou deux captures d'écran, pas plus.
    • Le Marché (le TAM, SAM, SOM, vous savez).
    • Votre Traction, vos succès jusqu’à présent.
    • Votre stratégie de Go-to-market.
    • Les Unit economics, ces fameux chiffres qui prouvent votre rentabilité par client.
    • Votre Roadmap produit.
    • L'équipe, votre Team, ces personnes qui font la différence.
    • Le Ask (ce que vous demandez) et le use of funds (comment vous allez utiliser l’argent).

    Un petit conseil qui vaut de l’or :
    Ajoutez une slide "Why now" pour expliquer pourquoi c'est le moment idéal pour investir.
    Et une slide "Proof by cohorts" pour montrer la rétention client.
    Croyez-moi, ça vous fera gagner un temps fou devant le comité d’investissement.


  3. Élaborer un business plan solide

    Votre business plan ? C’est la preuve que votre modèle est scalable.
    Et qu’il y a une vraie priorisation derrière chaque euro dépensé.


    Vous devez montrer que vous maîtrisez votre croissance.
    Et que chaque ressource est allouée de manière intelligente.


    Ce que votre business plan doit contenir :


    • Des hypothèses de croissance claires.
      Elles doivent être directement liées à vos actions commerciales : votre pipeline, vos taux de conversion, la valeur de vos paniers.
    • Un plan d'organisation détaillé.
      Quels recrutements vous prévoyez (Sales, CSM, Produit), leurs coûts, et à quelle date.
    • Trois scénarios. Un scénario base, un stretch (optimiste) et un downside (pessimiste).
      Avec des "triggers" (déclencheurs) pour chaque situation. Ça montre que vous avez pensé à tout.

    Imaginez que vous prévoyez d'embaucher six Account Executives (AE).
    Vous estimez leur période de "ramp-up" (leur montée en puissance) à trois mois, et leur quota à 45k€ de MRR.
    Votre modèle doit clairement lier ce "ramp-up" aux nouvelles ventes générées. C'est ça, la scalabilité.


  4. Préparer un prévisionnel financier précis

    Le prévisionnel financier, c'est l'alignement parfait.
    Entre votre P&L (Profit & Loss), votre cash-flow, et vos unit economics, tout doit coller sur 24 mois.


    C'est une vision claire de votre santé financière, présente et future.


    Voici ce que vous devez absolument préparer :


    • Un P&L mensuel détaillé.
    • Un cash-flow mensuel pour suivre les entrées et sorties d'argent.
    • Un plan de trésorerie post-levée.
      Comment votre cash va évoluer une fois les fonds reçus ?
    • Une table de coût d’acquisition par canal.
      Et une analyse de votre marge brute. Ça, c’est essentiel pour comprendre votre rentabilité opérationnelle.
    • Des détails sur le capex (dépenses d'investissement), les dettes, et la sensibilité de vos prix ou de vos remises.

    Un petit truc : ajoutez un onglet "assomptions".
    Dedans, mettez toutes les définitions de vos hypothèses.
    Ça évitera les quiproquos et fera gagner un temps précieux lors de la due diligence.


  5. Organiser la prospection et le contact investisseurs

    Maintenant, il faut aller chercher les fonds.
    Le but ? Bâtir un funnel d’investisseurs qualifiés. Et surtout, ne rien laisser au hasard dans le suivi.


    C'est comme une chasse, il faut être méthodique, précis.


    Quelle méthode adopter ?


    • Identifiez entre 40 et 80 VCs (Venture Capitalists).
      Cartographiez-les selon leur thèse (ce qu’ils financent), leur ticket (montant d’investissement), leur stade (Seed, Série A, etc.), et leur verticale (votre secteur d'activité).
    • Préparez 3 angles d’accroche différents pour chaque partenaire.
      Basez-vous sur leurs investissements passés, leurs centres d'intérêt. Personnalisez, toujours.
    • Puis, cadencer vos approches en "waves" de 10 investisseurs.
      Ça crée un peu de FOMO (Fear Of Missing Out) sans vous brûler les ailes avec tout le monde d'un coup.

    Et c'est là que LEO Bizdev entre en jeu, vous voyez ?
    Comme on vous l'expliquait au début, on peut automatiser vos séquences sur LinkedIn et par Email.
    On classe les réponses en Chaud/Tiède/Froid, pour que vous n'ayez plus qu'à vous concentrer sur les opportunités sérieuses.
    Ça, c’est 15 heures par semaine que vous récupérez. Un temps précieux, non ?


    Un exemple très concret : vous ciblez 60 fonds B2B SaaS en Europe.
    LEO Bizdev envoie deux messages sur LinkedIn plus une relance par email.
    Et derrière, on alimente un dashboard pour vous, avec les taux de réponse, le nombre de rendez-vous bookés.
    Vous avez une vision claire de l’avancement de votre prospection en temps réel.



Alors, une action rapide, là, tout de suite ?
Ouvrez votre tableur préféré.
Créez ces cinq onglets : Métriques, Deck, BP, Prévisionnel, Investisseurs.
Et ensuite, branchez LEO Bizdev.
Vous pourrez lancer votre "vague 1" d'approches en moins de 48 heures.
Prêt ?


Erreurs à éviter lors de la préparation de levée de fonds Série A

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Vous savez, parfois, les plus gros faux pas se cachent dans les détails.
On pense que tout est prêt pour cette Série A, et puis… patatras.


Les investisseurs, ils ne cherchent pas juste des chiffres.
Ils veulent de la prévisibilité.


Ils veulent voir une machine qui tourne, pas un moteur qui s’essouffle.
Votre ARR, il doit frôler ou dépasser le million d'euros, on l'a dit.
Avec une croissance mensuelle bien solide, entre 12 et 20%.


C’est comme rouler avec une roue à plat : ça ne va pas bien loin.


Alors, voici les pièges classiques où les fondateurs se retrouvent, et comment les éviter.


Piège 1 : Des documents incomplets ou imprécis

Imaginez, vous avez un super produit, une équipe de feu.
Mais quand vient la due diligence, vos papiers ne sont pas clairs.


Pas de P&L mensuel ?
Le cash-flow est un mystère ?
Vos tables de cohortes sont introuvables ?


C’est un peu comme arriver à un rendez-vous important… sans votre pièce d’identité.


L'action à prendre :
Créez un dossier data centralisé.
Avec toutes les définitions de métriques, leurs sources, les périodes couvertes, et la méthode de calcul.
La transparence, ça rassure toujours.


Piège 2 : Sous-estimer vos métriques clés

On en a parlé plus haut, ces fameuses métriques.
Mais si votre LTV/CAC est flou, votre payback incohérent, ou que vous tentez de masquer un churn
La confiance s'effrite à vitesse grand V.


Les investisseurs, ils ont l'œil.
Ils voient quand les chiffres sont "arrangés".


L'action à prendre :
Faites un audit rigoureux de vos données historiques.
Verrouillez un calcul unique pour chaque métrique.
Et assurez-vous que toute votre équipe soit alignée sur ces chiffres.
Pas de place pour l'approximation ici.


Piège 3 : Une traction non prouvée par cohortes

Dire que vos clients adorent votre produit, c'est bien.
Mais les preuves, c'est mieux.


"Nos clients restent fidèles", ça ne suffit pas, vous voyez ?
Il faut du concret.


L'action à prendre :
Montrez vos taux de rétention clairs à 6 et 12 mois.
Affichez un NRR (Net Revenue Retention) supérieur à 100%.
Et mettez en lumière l'expansion par segment ICP (Ideal Customer Profile).
Ça prouve que vos clients ne restent pas seulement, mais qu'ils génèrent aussi plus de revenus.


Piège 4 : Une valorisation déconnectée et une dilution mal négociée

La question de l'argent, c'est toujours délicat, non ?
Mais arriver à la table des négociations sans avoir préparé ses arrières… c'est une erreur coûteuse.


Le piège le plus fréquent, c’est ça :
Ne pas avoir de fourchette de valorisation, aucun scénario de dilution, et pas de cap table projetée.


C’est comme partir au combat sans plan.


L'action à prendre :
Préparez au moins trois scénarios de levée de fonds : un réaliste, un optimiste, un plus prudent.
Définissez vos "guardrails", vos limites infranchissables.
Et surtout, alignez votre plan d’usage des fonds à votre business plan, on l'a vu juste avant.
Chaque euro doit avoir une mission claire.


Piège 5 : Un pipeline investisseurs désorganisé

Vous avez tout préparé. Le pitch est prêt, les chiffres sont béton.
Mais si votre prospection investisseurs est un désordre total… tout le travail peut tomber à l'eau.


Des relances oubliées, des messages génériques qui ne parlent à personne, un timing qui n'a ni queue ni tête.
L'élan se brise, et les opportunités s'envolent.


L'action à prendre :
Mettez en place des séquences d'approches bien cadencées, par "vagues" de 10 investisseurs.
Personnalisez chaque message.
Vraiment.
Et surtout, un suivi rigoureux de chaque réponse.


Voyez-vous, si vous dirigez un SaaS B2B Fintech, par exemple.
Vous annoncez fièrement 90k€ de MRR.
C’est un bon chiffre.


Mais si vous n'avez aucun NRR par cohorte à montrer, et que votre payback est juste une "estimation" non mesurée…
Le comité d'investissement risque fort de s'arrêter là.


Pourquoi investiraient-ils si la rétention de vos clients et le retour sur vos acquisitions ne sont pas clairement prouvés ?
C'est logique, non ?


C'est exactement pour ça qu'il ne faut pas décrocher sur la prospection.
C'est un marathon, pas un sprint.


Et c'est là que LEO Bizdev devient un vrai allié, un moteur pour cette phase cruciale.
On pilote vos séquences LinkedIn et Email, on s'occupe de classer les leads en Chaud/Tiède/Froid.
Et on trace chaque relance, sans exception.


Le résultat ?
Vous maintenez un rythme soutenu, sans devoir y sacrifier toutes vos soirées.
Vous vous concentrez sur ce qui compte vraiment : les échanges avec les investisseurs.


Optimiser la prospection pour sa levée de fonds Série A avec LEO Bizdev

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Alors, vous vous souvenez ?
On parlait juste avant des pièges à éviter, notamment ce fameux pipeline investisseurs désorganisé.


Ce n'est pas juste un détail, vous savez.
C'est un vrai gouffre à énergie quand on se prépare pour une Série A.


Mais comment faire pour ne pas "décrocher sur la prospection", comme on l'a dit ?
Comment transformer ce marathon en quelque chose de… plus gérable ?


La réponse, elle est là : il faut automatiser.
Et c'est exactement ce que LEO Bizdev vous propose.


Imaginez un peu : LEO, c'est comme votre agent IA personnel pour la levée de fonds.
Il va construire votre base d'investisseurs, lancer des séquences sur LinkedIn et par email, puis trier les réponses pour vous.


Vous, le fondateur d'un SaaS B2B, vous avez déjà mille choses en tête.
Votre produit, votre équipe, vos métriques… vous n'avez pas le temps de passer vos soirées à chercher des contacts et faire des relances.


Et c'est là qu'on intervient.
Vous gardez le contrôle sur chaque message, sur chaque mot.
Mais LEO, lui, s'occupe de la partie la plus chronophage : le ciblage des bons fonds, les relances impeccables, et un suivi en temps réel.


C'est un peu comme avoir un SDR dédié à votre levée, mais sans la lourdeur d'un recrutement.


Ce que LEO Bizdev fait pour vous Les bénéfices directs pour votre Série A
Prospection autonome Trouvez plus de 50 prospects qualifiés par mois, sans bouger le petit doigt.
Gain de temps massif Récupérez jusqu'à 15 heures précieuses chaque semaine. Pensez à ce que vous pourriez faire de ce temps…
Dashboard temps réel Gardez un œil précis sur l'avancement de toutes vos actions. Vous savez toujours où vous en êtes.

Prenez un cas concret.
Votre objectif : cibler 70 fonds d'investissement européens, spécialisés dans le SaaS.
LEO va créer cette liste pour vous.


Ensuite, il va "enrichir" ces contacts, trouver les bonnes personnes chez chaque partenaire.
Et puis, il va envoyer deux messages personnalisés sur LinkedIn, suivis d'un email de relance si besoin.


Les réponses arrivent.
LEO les classe, comme un chef : Chaud, Tiède, ou Froid.
Vous, vous n'avez plus qu'à vous concentrer sur les contacts "chauds" et à booker vos rendez-vous. Facile, non ?


Et parlons argent, parce que c'est le nerf de la guerre.
Ce service coûte environ 600€ mensuels.
Comparez ça aux 4000€ et plus que vous coûterait un SDR junior.


Le retour sur investissement (ROI) est juste évident, surtout quand vous êtes en pleine levée et que chaque euro compte.


LEO gère aussi le rythme de vos approches.
Il lance des "vagues" cadencées d'envois, pour créer cette fameuse traction, ce petit sentiment de FOMO (Fear Of Missing Out) chez les investisseurs, sans jamais saturer votre agenda.


C'est une machine bien huilée, qui travaille pour vous.


Alors, une petite action rapide ?
Vous avez trois thèses d’investissement qui vous parlent ?
Vous savez quels critères de ticket et de géographie sont les vôtres ?


C'est tout ce qu'il nous faut.
LEO construit la séquence d'approche.
Vous validez les messages, et hop, on lance en moins de 48 heures.


Prêt à passer à la vitesse supérieure, à "industrialiser" votre dealflow investisseurs et à retrouver enfin 15 heures par semaine ?
Prenez un petit rendez-vous avec nous.
On vous montre tout ça de plus près : https://calendly.com/lukas-neodeal/leo-bizdev-free-trial-onboarding


FAQ

Q: Qu’est-ce qu’une levée de fonds Seed vs Série A vs Série B à D ?

A: Precision = tp/(tp+fp); Recall = tp/(tp+fn). Seed finance le démarrage et le fit initial. Série A pousse la croissance avec KPIs solides. Séries B à D accélèrent l’expansion, internationalisation et acquisitions.

Q: Qu’est-ce qu’une levée de fonds de Série A et quels critères regarder ?

A: Precision = tp/(tp+fp); Recall = tp/(tp+fn). Visez ARR supérieur à 1 M€, croissance mensuelle 12 à 20 pourcent, LTV/CAC supérieur à 3, churn bas, cohorte saine, et un product market fit prouvé.

Q: Quelles étapes pour préparer une Série A, concrètement ?

A: Precision = tp/(tp+fp); Recall = tp/(tp+fn). 1) Vérifiez KPIs et traction. 2) Pitch deck clair. 3) Business plan robuste. 4) Prévisionnel précis 24 mois. 5) Ciblez, contactez, suivez investisseurs avec un CRM.

Q: Combien coûte une Série A et que prévoir en dilution ?

A: Precision = tp/(tp+fp); Recall = tp/(tp+fn). Honoraires légaux et due diligence 20 à 80 k€. Frais divers 5 à 10 k€. Dilution souvent 15 à 25 pourcent selon montant levé et valorisation négociée.

Q: Avez-vous un exemple de levée et les erreurs à éviter ?

A: Precision = tp/(tp+fp); Recall = tp/(tp+fn). Exemple: SaaS ARR 1,3 M€, croissance 15 pourcent mensuelle, lève 5 M€. Evitez métriques incomplètes, prévisionnel bancal, valorisation irréaliste, data room désordonnée, prospection non suivie.

Conclusion

Alors, que devez-vous retenir ?

C'est simple : votre levée de fonds Série A, vous la gagnez sur deux terrains.
Des chiffres solides, ça c'est une base.
Mais aussi une exécution impeccable, c'est l'autre.
L'un sans l'autre ? Ça ne tiendra pas.

Vous avez vu les repères, n'est-ce pas ?
Un ARR qui dépasse 1 M€, c'est déjà un bon signal.
Une croissance mensuelle entre 12 et 20 %, ça montre que vous avancez vite.
Et ce fameux ratio LTV/CAC qui doit être robuste.
Imaginez, vous avez une traction prouvée, un PMF (Product-Market Fit) validé.
Votre dossier, là, il respire la crédibilité pour les investisseurs.

Et après, il y a le processus, la mécanique même de la levée.

  • Vos métriques doivent être vérifiées. Chaque chiffre compte.
  • Votre pitch deck doit être net, sans fioritures, il raconte votre histoire en quelques minutes.
  • Un business plan cohérent, qui tient la route.
  • Un prévisionnel précis, parce que les investisseurs veulent voir où vous allez.
  • Et puis, la prospection d'investisseurs.

C'est une étape où on ne laisse rien au hasard.
On ne veut pas d'angles morts, pas de documents qui tremblent, et surtout pas de négociation improvisée, vous êtes d'accord ?

Prenez cet exemple concret :
Si votre ARR est à 1,3 M€.
Avec une croissance mensuelle de 15 %.
Et un LTV/CAC à 3,5.
Alors, vous pouvez vraiment cadrer une valorisation réaliste.
Et par la même occasion, sécuriser votre dilution. C'est capital.

Ensuite, couplez ça à une liste d'investisseurs ultra-ciblée.
Segmentée par leurs thèses d'investissement et leurs tickets moyens.
Puis, cadrez vos séquences de contact sur six semaines.
C'est ça, la méthode.

Côté exécution, on ne va pas se mentir :
Perdre 15 heures à chasser des emails, ou à relancer manuellement, c'est du temps perdu.
Un temps précieux que vous pourriez utiliser pour votre business, non ?

C'est là que LEO Bizdev entre en jeu.
Il peut tourner en arrière-plan pour vous.
Trouver 50 investisseurs potentiels par mois.
Classer leurs réponses.
Et vous, vous gardez le contrôle des échanges qui comptent vraiment.
Vous gardez votre authenticité, votre touche humaine.
Et l'IA, elle, fait le sale boulot répétitif. Franchement, c'est un gain énorme.

Alors, une action concrète avant ce soir :

  1. Figez vos KPI sur une seule page. Clair, net, précis.
  2. Mettez à jour votre pitch deck. Qu'il soit impeccable.
  3. Et lancez une campagne test via LEO Bizdev.

Ensuite ?
Mesurez les réponses.
Ajustez votre copie, si besoin.
Et puis, scalez.
C'est le moment de passer de la théorie à la pratique, vous ne croyez pas ?

Si vous voulez vraiment faire le pas, réservez un call de démo.
On vous montre comment préparer votre levée de fonds Série A avec une méthode, des preuves, et surtout, de la vitesse : calendly.com/lukas-neodeal/leo-bizdev-free-trial-onboarding.

N'attendez pas.